Le Calocèdre du parc des Rochers, à Saint-Vite

 Calocèdre , ou "Cèdre à encens" ( Calocedrus decurrens ) de bonnes dimensions ( 3,30 m de tour de tronc ),et qui date sans doute de la création du parc ( environ 140 ans ).

 Pour en savoir plus sur cette espèce, voir ici : Le Calocèdre ( ONF ).

Le Chêne du cimetière, à Frespech

    Ce grand chêne est situé dans une propriété privée dont le mur est mitoyen du cimetière : aussi sa vaste ramure domine une partie de ce dernier. De dimensions respectables ( 3,55 de tour de tronc ), il doit néanmoins son caractère remarquable à cette situation exceptionnelle.

Le Chêne des Faures, à Tournon d'Agenais

     

  Situé à environ 2 km au Sud-Est de Tournon, à l'intersection de la route de Courbiac et du chemin des Faures. Grand chêne dont le tronc atteint 4,20 m de tour, remarquable également par son isolement au milieu de la vallée.

Le Chêne vert de Birou, à Anthé

 Situé en contrebas des ruines de l'ancien château de Birou.

Vieux chêne vert ( Quercus ilex ) au houppier atypique, résultant sans doute d'un ancien élagage.

Tour de tronc : 3,80 m.

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Le Chêne de Grenier, à Montayral

  Grand chêne situé au bord de la petite route qui relie le bourg de Montayral au hameau de Garrigues, au lieu-dit Grenier.

  Tour de tronc : 4,10 m

Le Chêne de Lacouture, à Montayral

 

      Grand chêne pubescent ( 3,60 m de tour de tronc ), remarquable par son bel isolement à l'extrémité de la plaine alluviale , au pied des coteaux de Montayral.

Le Chêne de Rigal, à Anthé

    Vieux chêne pédonculé en partie étêté, situé dans une propriété privée, au lieu-dit Rigal ( au sud-est du Bourg ) .  Circonférence du tronc à 1,30 m : 4,80 m.

   Attaqué à sa base par des champignons lignicoles ( Ganoderma sp. ), mais encore bien vivant...

                                                                                                                          Photo S. Aubert                                                                       

                         

Le Chêne de la chapelle Sainte-Foy, à Anthé

    Ce grand chêne rouvre ( Quercus petraea ) surplombe la chapelle qui dépend du Château de Sainte-Foy voisin.

     Très beau tronc, rectiligne sur une quinzaine de mètres  et d'une circonférence de 3,80 m.

Le Platane de La Grèze, à Saint-Front-sur-Lémance

 Situé dans le fond humide d'un vallon, en contrebas du manoir de La Grèze et visible depuis le chemin rural qui relie la vallée de La Lémance au hameau de Bagel.

 Circonférence du tronc : 5,20 m, et surtout vaste houppier d'environ 25 m d'envergure.

Labellisation du Chêne de Rogé, à Villeneuve-sur-Lot

    Chez nos voisins de Villeneuve, un bel arbre sera à l'honneur samedi 5 mai prochain.
En effet, le chêne pyramidal ( Quercus robur "fastigiata" ) du château de Rogé recevra ce jour là le label " Arbres remarquables de France", en présence de Georges Feterman, président de l'association " A.R.B.R.E.S.", du maire de Villeneuve, et des représentants de l'asso "CPIE" , qui a initié l'inventaire des arbres remarquables du 47.

On estime l'âge de cet arbre vénérable à environ 300 ans ( plus de 6 m de tour de tronc )

A noter que le château de Rogé lui-même, propriété de la commune de Villeneuve-sur-Lot, bénéficie d'une inscription aux Monuments historiques depuis janvier 2016, et à ce titre est intégralement protégé.

Le Chêne d'Hermita, à Anthé

 
      Il est situé dans une propriété privée, au lieu-dit Hermita, au bord de la petite route qui relie le bourg d'Anthé à la D 661. 
      Cironférence de son tronc : 5,10 m, ce qui permet d'attribuer à ce vénérable chêne un âge d'au moins 20o à 250 ans... 

   

 

 

Vu depuis la route

 

 



L' Amandier de la rue du Chemin rouge, à Fumel

   
   Vieil amandier situé dans une parcelle privée, non loin de l'intersection de la rue du Chemin rouge avec l'avenue de l'Usine. Sa circonférence à la base du tronc : 2,70 m  ce qui en fait sans doute un des plus vieux amandiers du département; mais sa caractéristique principale est la présence d'énormes branches développées dès la base du tronc.



 



 

 

 

 

Le vieil amandier est sans doute un "survivant" d'anciens vergers, qui couvraient une bonne partie du quartier avant son urbanisation et la création de la rue du Chemin rouge.